dimanche 27 janvier 2013

La prostitution dans la rue

L'utilité de la réouverture des maisons closes.


Ces "demoiselles" que l'on rencontre aujourd'hui dans nos villes et dans nos campagnes m'inspirent une réflexion.

Nous avons pléthore de ministères dans notre pays, pourquoi pas un ministère de la prostitution !
Avec à sa tête un grand argentier spécialiste de la fonction et ancien proxénète.
Une belle manière de rebondir pour DSK, notre ancien ministre est aujourd'hui chômeur de luxe et il a du mal à joindre les deux bouts ! C'est une opportunité immanquable bien évidemment !

Combien de personnes prostituées en France : en 2009, l'office central pour la répression des êtres humains (OCRTEH) évaluait à environ 20 000 le nombre de prostituées en France. Ce chiffre était contesté par le syndicat du travail sexuel (STRASS). Et pour cause, l'Allemagne dénombre environ 400 000 personnes prostituées pour
20 000 chez nous.
Cherchez l'erreur !
Elle est du même ordre que les chiffres officiels de la délinquance qu'on falsifie pour faire "mousser" les ministères responsables ou irresponsables.

Paradoxe :
 La France s'est engagée à reconnaître que la prostitution est "incompatible avec la dignité et la valeur de la personne humaine".
Et parallèlement on apprend que les revenus de la prostitution sont imposables au titre des bénéfices non commerciaux.
"Ma petite entreprise connaît pas la crise" disait Alain Bashung.

La prostitution de rue est réputée dangereuse.
La pratique constatée sur nos voies, qu'elles soient rues, ruelles, routes nationales ou chemins vicinaux, se fait sans aucune hygiène, tout au plus peut-on voir une bouteille d'eau minérale, servant sans doute à des ablutions sommaires.
La maison dite de tolérance semble mieux convenir en terme de sécurité et d'hygiène, elle peut être contrôlée plus facilement que des sujets étalés dans des rues et sur nombre de routes de France.


Nous avons un premier ministre fin connaisseur de la roublardise
Un homme ayant toutes les capacités nécessaires à la fonction de ministre de la prostitution, devra être nommé.
Et pour ce travail délicat, quelqu'un de peu délicat semble indispensable.

Car outre les affaires de moeurs au Sofitel de Manhattan, au Carlton de Lille ou avec Tristane Banon, le "gugusse" pressenti est un roublard de première catégorie.

- L'affaire de la MNEF en 1997 ou il aurait perçu 603 000 francs, il fut mis en examen fin 1999 puis relaxé fin 2001. (le roublard)

- L'affaire Méry ou il est accusé d'avoir offert, quand il était ministre de l'économie et des finances, une remise fiscale de 160 millions de francs à Karl Lagerfeld en échange de la remise par l'avocat de celui-ci, des aveux de Jean Claude Méry (financier occulte du RPR), contenus dans une cassette. Il reconnait avoir eu cette cassette, mais l'avoir égarée avant de l'avoir visionnée. Après avoir été soupçonné de "corruption passive", il ne sera finalement pas poursuivi. (le roublard)

- Il est soupçonné d'emploi fictif, dans une filiale suisse du groupe ELF, au profit de sa secrétaire en 1993 et 1994 pour une somme de 192 000 francs. Il est mis en examen pour "complicité et recel d'abus de biens sociaux" en janvier 2000. Non-lieu prononcé par Eva Joly en octobre 2001. (le roublard)

- L'affaire Piroska Nagy, en 2008 il est accusé par cette dernière, devenue sa maîtresse, d'avoir abusé de sa position au sein du FMI. Il sera finalement disculpé à la suite de l'enquête du FMI. (le roublard)
A la suite de cette affaire, le harcèlement devient motif de licenciement au FMI.

Pour revenir à notre sujet, la prostitution, dans l'impossibilité de l'éradiquer utilisons ses ressources et pour ce faire, quel meilleur moyen qu'un vrai ministère dirigé par des gens compétents. DSK, Dodo La Saumure et quelques autres semblent posséder toutes les capacités d'une telle charge.
Avec des professionnels de cette trempe, l'avenir de la prostitution dans notre pays est tout tracé, moins de risques inutiles pour les travailleurs du sexe, finie la falsification des statistiques sur le plus vieux métier du monde.
Un avenir nouveau va s'ouvrir, un délégué à la communication sera nommé au sein de ce ministère pour promouvoir le métier (rappelez vous imposition aux BNC). Il va falloir orienter les jeunes, les chômeurs, les gens dans le besoin vers cette nouvelle voie.
De vraies opportunités vont voir le jour qu'il faudra saisir sans attendre.

Une tâche colossale, attend ce futur ministère.
Répertorier, tester, délivrer les autorisations et certificats, peut-être même pourra t-on voir l'émergence d'une école spécifique au métier.
La prostitution va pouvoir obtenir ses lettres de noblesse. Enfin reconnue, au même titre que l'homosexualité ou la polygamie, tous ses adeptes vont enfin pouvoir s'épanouir dans une nouvelle société de tolérance et d'égalité.
Et, cerise sur le gâteau, les chiffres du chômage vont enfin pouvoir s'inverser.
Et c'est une vraie bonne nouvelle pour notre pays !

1 commentaire:

  1. Ne pas oublier la prostitution dans les bois bien connus, où l'on ne peut plus aller se promener seul(e) ni en famille.
    Ceci dit un ministère, pourquoi pas, les politiques sont bien des professionnels du racolage actif.

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