mardi 30 avril 2013

Marre de la pluie.

Un rayon transperce le gris,
il me suffit et je revis.
A travers la fenêtre close
je vois la fleur, elle est éclose.

Et le ciel à nouveau assombri
couvre la belle d'un manteau gris.
Un son lointain comme un roulement,
l'orage s'éveille doucement.

L'éclair dans le ciel que je vois
a dérangé le chien, je crois !
Le bruit, si fort et si violent
nous enlace dans l'instant.

De retour au carreau,
mon front regarde l'eau,
elle rebondit, court, ruisselle
et tombe de plus belle.

Fasciné par le tonnerre
qui ne sait plus se taire,
je n'ai pas vu la fleur,
elle plie, chute et puis se meurt.



Faut pas stigmatiser

Homophobie

On me dit, on me répète qu'il y a de plus en plus de comportements homophobes. Surprenant !
Pourtant, on explique à tour de bras et dès le plus jeune âge, que les homosexuels sont exactement comme nous. Et ceci est tellement vrai qu'on devrait avoir la possibilité d'orienter les enfants en fonction de leur choix. On peut en effet constater rapidement que certains ont des comportements qu'on pourrait qualifier de contraire à leur sexe.(je ne suis pas sûr que les termes employés soient pertinents)

Il suffirait d'appuyer sur cette différence.  
Mettons des jupes et faisons des couettes à nos chers petits garçons déjà un peu efféminés.
Les filles "garçonnes" pourront porter jeans et survêts, leurs cheveux seront coupés courts. 
Evitons de faire se rencontrer ces deux mondes.

Lorsque à l'adolescence, ils choisiront leur sexualité. Si ces garçons se révèlent être gays et ces filles lesbiennes, pas de crise de conscience au passage de l'âge adulte.

Dans l'avenir, cette solution pourrait nous amener à avoir une majorité d'homosexuels.
La cause serait alors entendue. Condition sine qua none pour faire chuter drastiquement cette ignoble homophobie.

Racisme

On me dit, on me répète qu'il y a de plus en plus de comportements racistes. Surprenant !
La discrimination raciale est une très vilaine chose, il faut que chaque français en soit intimement convaincu. 
Ce postulat, bien sûr, ne vaut que pour les français. Les étrangers n'ont pas a en tenir compte.

Ce racisme marginal et réciproque n'est nourri que par la propagande utile aux politiques.

Aujourd'hui, il est un racisme beaucoup plus insidieux. Il s'agit de cette supériorité culturelle de gauche qui amalgame aisément racisme avec populisme et qui qualifie de racistes tous ceux qui n'ont pas leur élévation d'esprit.

C'est cette même engeance qui officie ou qui rêve d'officier dans l'humanitaire et qui détient la vérité pour les autres : "je sais ce qui est bon pour vous". Leur but n'étant pas d'aider mais bien de rendre dépendant. 

La supériorité d'un racisme ordinaire !

Une question se pose : n'est-il pas juste de privilégier son ethnie, son groupe et sa culture comme on préfère sa famille ? Si bien sûr, et cela porte un nom, on l'appelle ethnocentrisme et non pas racisme.




dimanche 28 avril 2013

J'ai failli gagner le gros lot

Triste nouvelle.

Hélas ! il est trop tard, j'ai oublié de réclamer mes huit millions d'euros du super loto, à la Française des Jeux.
C'est con ! C'est dur et c'est ma faute, j'ai paumé le ticket ! Pour une fois que j'en avais acheté un, voilà qu'il s'est fait la malle. L'enfoiré... Et résultat : la date fatidique est passée. J'ai vraiment très mauvaise conscience. Comment peut-on être aussi tête en l'air ?

Résignation.

Le gros coup de blues, la boule au creux du ventre, l'estomac qui pèse une tonne. Et puis ces nuits à transpirer. Et enfin l'obligation de la fatalité, celle qui doit permettre de survivre sans trop de remords.
Putain, mais comment m'arranger avec autant de pognon ?
La peur du vol, les jaloux, la famille, les parasites, les associations, les banques, comment gérer tous ces connards sans perdre totalement le sommeil ?
C'est vrai, une nouvelle voiture pour remplacer la 2CV très fatiguée, c'eût été bien.
Réparer le toit et la façade ne serait pas trop luxueux. Mais peut-être on aurait pu s'acheter une demeure un peu plus fonctionnelle. Et puis faire quelques plaisirs, pourquoi pas ? Mais comment ne pas attirer la suspicion ? L'oeil en coin du voisin, le mépris du commerçant, le sourire réprobateur des amis, toutes ces vexations risqueraient d'être difficilement supportables.

Délivrance

Si au moins ces salopards du loto avaient la bonne idée de donner mes gains à une oeuvre utile et non gouvernementale. Je pense que cette solution serait la plus à même de me mettre en paix avec mon moi.
Et puis, après tout, je m'en balance. Au diable cet argent pas même gagné. Finalement, ce pognon est malsain, il ne pourrait que perturber mon existence.

Avec des si...

Si effectivement j'avais été moins con, j'aurais pu me faire plaisir.
J'aurais bâti des maisons pour les sans abris.
J'aurais fourni des repas à ceux qui ont faim.
J'aurais organisé un Noël géant pour les enfants.
J'aurais rejoint une mission bénévole humanitaire.
J'aurais réussi à créer des asiles pour les animaux abandonnés.

Et puis, encore et encore.... si vous avez des idées lumineuses allez-y c'est sûrement votre jour de chance.

mercredi 24 avril 2013

Lettre à la con

Bien chers magistrats justiciers,

Les français et moi-même serions très heureux de participer à votre jeu intitulé "Le mur des cons" (avez-vous eu le réflexe Nabila ? pour déposer le titre à l'INPI )
Je possède une panoplie de portraits annotés à faire pâlir le syndicaliste vengeur.
Je vous propose, au hasard : 
  • Quelques sportifs ou ex-sportifs du type Benzema, Zidane, Noah, Deschamps, Manaudou ou Chabal. 
  • Quelques artistes genre Bruel, Arditi, Halliday, Starr, Quentat, Tautou ou Marceau.
  • Quelques journalistes ou animateurs télé comme Pulvar, Roselmack, Naguy, Ferrari ou Ardisson.
  • Quelques évêques et cardinaux, quelques imams, quelques pasteurs et quelques rabbins.
  • J'ai aussi quelques animaux du meilleur effet.
Pour pimenter le jeu, chacun devra se munir de trois fléchettes. Chaque visage cible se verra attribué un nombre de points ( à préciser ). On pourra octroyer des bonus ( à préciser ) en fonction des zones du corps atteintes par les projectiles.

Si, par pur hasard, il vous venait l'idée saugrenue d'aller plus avant et de choisir des cibles vivantes, je ne vous suivrai pas dans cette voie. 
Je ne voudrais pas me retrouver dans un prétoire face aux justiciers vengeurs.

Tant que le  jeu restera dans les limites raisonnables vous pouvez, chers amis magistrats, compter sur mon adhésion pleine et entière. Je ne manquerai pas de sonner le rappel et d'amener une pléiade d'amis triés sur le volet, mon chien, mes chats, mon banquier, mon percepteur et sa maîtresse. J'ai même un ami qui est ami avec l'ami d'un ami de Valérie la PPDF, celle-ci serait peut-être susceptible de bouger le cul faire venir son amant et majesté François afin de vous encourager dans votre action citoyenne et nécessaire.

Veuillez croire, chers justiciers, à ma meilleure et sincère antipathie.



lundi 22 avril 2013

"Allô non, mais allô quoi"



Voici la nouvelle référence culturelle de l'excellence !
C'est la starification de l'indigence !

L'INPI a donc tellement besoin de rentrées d'argent pour accepter de laisser déposer une telle débilité.

Sommes-nous dans le fameux pays des Lumières, de Victor Hugo, Voltaire et Jean Jacques Rousseau pour s'extasier des âneries d'une bimbo botoxée et gonflée à l'hélium, possédant un Q.I. de ver solitaire ?

"Allô quoi ? Je suis assise sur mon chien ? Non"          "Allô non, allô quoi il est mort"

Pas besoin d'en dire plus !


samedi 20 avril 2013

Trop d'immigration ?

Quelle stupeur pour moi ! Quel cataclysme pour le journal Le Monde !
A propos des responsables de l'attentat du marathon de Boston, Hélène Sallon titrait : "Pourvu qu'il ne soit pas musulman".
Malheureusement pour la journaliste spécialiste en désinformation, la réalité a voulu que ce ne soit pas l'extrême droite qui porte la responsabilité de cet acte. Sans doute aurait-elle préféré qu'il s'appelât Adam Lanza et qu'il soit d'une autre confession.

Mais la journaliste n'est pas responsable de l'immigration massive aussi bien aux States qu'en Europe et plus particulièrement chez nous, en France. Tout juste la justifie t-elle en refusant d'appeler un djihadiste musulman, un djihadiste musulman qu'il soit tchétchène, iranien ou français.
C'est bien nos gouvernements qui utilisent cette immigration, parfois à des fins peu reluisantes, qui sont les responsables de cette situation.

En France les chiffres officiels reconnaissent 200 000 immigrants par an contre 100 000 qui retournent dans leur pays.
Afin de mieux intégrer les étrangers, il serait plus raisonnable de pratiquer une immigration plus sélective, n'en déplaise aux donneurs de leçons. L'étranger ne doit pas venir sur notre sol uniquement pour les avantages du système social. S'il participe activement à la prospérité de notre pays alors ouvrons grand nos bras, tous nous seront profitables et réciproquement.

Entre novlangue et langue de bois.

Quelques mots sur la langue du pouvoir


Quand George Orwell écrit son roman 1984, paru en 1949, je crois qu'il n'imagine pas alors, l'utilisation de la Novlangue actuelle, faite par les politiques.
Ces tristes sires profitent au maximum de l'usage de cette langue simplifiée ou torturée à souhait pour la transformer en langue de bois.


Le jeu consiste avant toute chose à camoufler un discours creux en charabia préformaté. La langue de bois est quelques fois difficile à discerner car nos petits malins semblent tellement raisonnables dans leurs réflexions alambiquées et tortueuses.

Pour bien situer cette perversion linguistique, on peut entendre, sorti de la bouche de pseudo-intellos progressistes, le terme débile de "croissance négative".
Effectivement, les mots régression ou récession ne doivent jamais être prononcés, il sont trop révélateurs.
Comment rendre le mensonge crédible, leitmotiv redondant du politique ? Il suffit d'utiliser la langue de bois, elle permet de ne pas stigmatiser, de faire croire au meurtre respectable. On doit toujours faire sentir cette connotation positive.

Les journalistes ne relèvent jamais ces distorsions de langage dont abusent les "gens avertis".

Exemple de novlangue :
Concerne la fermeture d'une classe, les parents d'élèves occupent l'école. La Nouvelle République précise que la majorité des enfants sont "allophones" ce qui signifie que leur langue maternelle n'est pas le français.
Pourquoi ne pas expliquer tout simplement que la situation de ces fils d'étrangers empêche toute intégration et tout travail des enseignants. Le journal local devrait même dénoncer le communautarisme à l'origine de cette situation.

Eh bien non ! la bien-pensance interdit "tout amalgame" sous peine d'être taxé de raciste et autres noms d'oiselets.
un des chantres de la novlangue

Le communautarisme un terme socio-politique désignant les attitudes ou les aspirations de minorités (culturelles, religieuses, ethniques...) à se différencier volontairement, pour s'entraider, voire pour se dissocier du reste de la société.

En y associant sons et images, la propagande et la publicité utilisent au mieux les rouages de la novlangue.

La novlangue décrite par Orwell est elle même inspirée de la "sovlangue" qui régissait la dictature soviétique. Elle doit remplacer l'ancienne langue "ancilangue" et doit refléter l'idéologie officielle.
Elle doit formater les esprits et créer des habitudes de réflexion. Elle doit interdire de penser et de dire certaines choses. C'est la langue de la censure.
L'homme de pouvoir use et abuse de la langue du pouvoir : celle que le disciple comprend et assimile, parce que toujours répétée.

Un mot sur le mariage


Pour en finir : le mariage est devenu le mariage pour tous. Soit ! Mais je préfère la définition donnée par Gaspard Proust : le mariage, acte précédant le divorce dans le but de faire une fête lorsque tout le monde se supporte encore.
Et sur l'adoption :
Adoption, coup de pouce du destin qui permet à certains gosses de trouver des parents plus compétents que ceux livrés d'origine.

Mon choix va tout droit vers les élucubrations de Gaspard Proust. Mon rêve utopique serait de voir le charabia surréaliste de nos élites disparaître de la surface de ma télévision et du discours des médias et remplacé par la pensée éclairée de certains humoristes.

Langues de ministres

Nos ministres ou futurs ministres de secondes zones qui ne savent que faire, se voient contraints d'innover dans la langue fourchue.

Exemple : Michèle Delaunay, notre très "chère" ministre a supputé que les mots vieux, ancien, troisième âge ou autre senior devraient disparaître du langage consensuel et être remplacés par la locution de personne avancée en âge. (sic ou plutôt hic)
On imagine la bourde, si je dis par erreur une personne d'un âge avancé et que je pousse l'erreur (humaine) un peu plus loin et que "avancé" soit confondu avec "avarié". On pense tout de suite aux linéaires des produits peu frais des grandes surfaces : fin de date de fraîcheur, produit périmé, etc...


Deuxième exemple : La député PS de Paris Sandrine Mazetier prétend avoir saisi (balèze la nana) le gouvernement pour faire cesser ce terme honteux d'école maternelle afin de le remplacer par petite école ou première école. 
Quel bouleversement pour nos chères têtes b.....s, en effet leur vie va changer, si seulement nous avions pu connaître cette première école, nous serions sans doute moins cons et moins sexistes.
Encore une député qui doit beaucoup s'ennuyer !





mercredi 17 avril 2013

Moi aussi je déballe mon patrimoine

Merde alors, nos joyeux drilles ont failli nous faire pleurer, le jeu consistant en un poker menteur pour bien montrer la misère de nos ministres. Quelle dignité, pour oser avouer être en possession de plusieurs bicyclettes, d'avoir un compte bancaire bénéficiaire de 198 euros et même, pour certains, d'avoir un compte dépôt à l'écureuil.
Mais où est donc passé leur argent ? Ah au paradis ! Mais oui évidemment : les associations caritatives. Comment vous n'y croyez pas ? Si, si ce sont des philanthropes, des vrais.

Facile : 10000 euros par mois tous frais payés x
par 10 mois = 100000 euros, je retranche les 198 euros restant sur le compte + 102 euros d'argent de poche reste 99700 euros pour les pauvres de ce monde. Elle est pas belle la vie !
C'est bien grâce à eux que nos impôts diminuent.

La transparence

Je vous le dis donc, les yeux dans les yeux, je déclare posséder :
  • une collection de scoubidous des années 50, d'une valeur pas estimable.
  • une voiture, imitation Ferrari, à pédales de couleur rouge.
  • une paire de dockside neuve estimée à 127 euros.
  • j'ai retrouvé, sous la poussière de mon vieux garage, une voiture utilitaire Citroën C15. (enfin je crois, elle est si vieille et si sale)
  • un livret A bénéficiaire de 70 euros.
  • j'allais oublier, je possède une action à 27 euros au Maxi Club Canidé.
  • une bouteille de Pommard 1998 achetée 25 Francs à l'époque.
  • un aspirateur de marque inconnue à peine capable d'avaler un cheveu.
  • une machine à coudre Singer à pédale. (mise en vente sur Le Bon Coin depuis un mois pour la somme de 50 euros, ramenée à 25 par manque d'acheteurs)
  • une bouteille de Ricard entamée depuis le siècle dernier, portant la mention : "craint le gel".
  • un ordinateur de marque Sony avec la touche CTRL qui saute sous la table à chaque sollicitation.
Voilà toute l'étendue de mon patrimoine.
Je persiste et atteste sur l'honneur que cette déclaration est juste et sincère.

Si j'ai oublié les tee-shirts et les caleçons, je pense que je serai quand même pardonné.
Je suis bien conscient n'être pas aussi pauvre que la majorité de nos guignols ministres, mais j'espère comme notre cher président, être a l'abri de l'ISF.

Zézette mérite une petite augmentation
Je voulais ajouter que mon patrimoine ne souffre d'aucun héritage. Contrairement à nos ministres de gauche, qui eux sont presque tous issus de familles riches et qui tentent, par tous les moyens, de faire croire qu'ils sont pauvres. Pas vu de fils ou fille d'ouvrier, d'employé ou d'artisan.
Très représentatifs nos pantins ! 

lundi 15 avril 2013

Changer de régime.

L'indispensable néo-régime.


Déception ! Mon orientation première avait penché pour le chute de la Véme république.
Mais après mûre réflexion, le nouveau régime que je préconise ne concerne que moi.

Malgré toute les niaiseries, âneries et fourberies de notre lourdaud "un con pétant" la France n'en sera pas changée.

En effet, à la sortie d'un long hiver, mon corps fatigué semble s'être un peu empâté. C'est pourquoi,  après mûre réflexion, çà y est cette fois, j'attaque le régime. Malgré quelques journées de ski et deux ou trois sorties pédestres, ma principale occupation hivernale m'a vu assis dans mon fauteuil à bloguer, face booker ou télé viser. Rien d'étonnant à ce que ma carcasse, habituellement svelte, ait quelque peu épaissi.
S'il n'est pas question, pour moi, de perdre dix kilos, je verrais bien diminuer ma ceinture abdominale. remplacer les petites chambres à air par des toblerones du meilleur effet.
J'ai pu constater, lors de mes quelques acrobaties sur les pistes de ski, que mes genoux encaissaient mal le lest imposé sur mes jambes, dans les creux et sur les bosses.
Donc, le chocolat et les pâtisseries dont je me régalais tous les soirs devant mon téléviseur, seront remplacés par une balade réparatrice.
Si cette nouvelle hygiène de vie ne s'avérait pas suffisante, je devrais peut-être supprimer l'apéritif de fin de semaine et la bière irlandaise de si bon moût. (dur, dur)
Dans l'hypothèse d'un échec total, il faudrait sans doute se tourner vers un outil diététique plus contraignant.

Le renouveau


Dès demain, je démarre les travaux du jardin.
Il sera plus sain de me nourrir des légumes que j'aurai cultivé. Les fruitiers sont en fleurs, dans un mois, les cerises seront à profusion. Dans un mois et demi, ce seront les abricots. La gymnastique accompagnant la cueillette de tous ces fruits, sera pour moi tout à fait profitable.

Puis l'été sera là. Les promenades sous le soleil du matin devraient faire fondre les derniers bourrelets récalcitrants. Un peu de VTT dans la campagne et la baignade en mer avec un peu de natation forcée, sculpteront les abdominaux.
Rentrez vos poules, quand le vieux beau sera de sortie !

Le rêve


Ma sveltesse retrouvée, je vais pouvoir retrouver mes vieux démons et de nouveau faire honneur à la Guinness, si par chance la marque n'a pas fait faillite.

Pour ne pas retomber dans mes travers, je devrais sans doute envisager de passer l'hiver dans une île du Sud. J'y réfléchirai, mais pourquoi pas ? Courir sur la plage au soleil de Noël, se baigner dans le lagon tous les jours du mois de Janvier. Perspective intéressante !

vendredi 12 avril 2013

Comme une défaite.

Les idées de Malika Sorel, sans doute protégée par ses origines algériennes, développées par tout autre, ferait les choux gras de la pensée universelle en parlant de racisme, de xénophobie et de pensée judéo-chrétienne d'extrême droite.

Cette femme ose mettre le doigt sur les vrais problèmes causés par l'immigration. Bravo !
Membre du Haut conseil de l'immigration Malika Sorel n'a peur de rien ni de personne.

Le bilan qu'elle dresse sur l'intégration fait apparaître toutes les lacunes et les compromissions des politiques depuis plus de 30 ans. Echec total de l'intégration malgré quelques parcours individuels réussis. Pour certaines populations, même la naissance sur le sol français, n'implique pas de se sentir français. En refusant de reconnaître le problème de l'insertion de ces populations si différentes, en prétendant que le temps arrangerait les choses, nos politiques aveugles et sourds sont les principaux responsables de la situation actuelle.

Malika Sorel entend différencier insertion et intégration.

L'insertion c'est apprendre et assimiler les règles et les lois propres au pays pour permettre de s'accommoder de la communauté.
L'intégration, c'est l'adoption et la participation aux règles de la communauté. Elle devrait aboutir à l'assimilation de l'individu. Elle implique de supplanter sa communauté d'origine.

Dans l'état actuel, la sauce intégration ne peut pas prendre. Sous couvert de diversité religieuse ou culturelle on renvoie toujours les gens vers leur communauté d'origine. Impossible pour l'individu de s'émanciper de sa cellule familiale, communautaire ou religieuse.

L'identité nationale, (les mots tabous) pour pouvoir en parler, il faut se sentir français et être intégré à la communauté française.
Bafouer le drapeau d'un pays qui vous fait vivre, drôle d'intégration !
Pour les médias, seuls les étrangers ont le droit de revendiquer une identité. Les Français qui tentent d'évoquer la leur sont accusés de racisme et xénophobie.

Nos élites ont naturalisé sans discernement des populations qui n'ont jamais eu l'intention de s'intégrer à notre culture. On se retrouve aujourd'hui avec un pan de la société possédant des papiers français mais qui n'ont jamais adhéré à notre culture. Cet état de fait n'a pas été désiré par les Français, il leur a été imposé par des politiciens naïfs ou intéressés.

Encore un sujet tabou développé par Malika Sorel : le racisme anti-blancs.
Je dirais plutôt le racisme anti-Français.
Pour occulter le racisme des communautés issues de l'immigration, on parle volontiers du Français raciste. "Il ne faut pas stigmatiser l'islam et ces populations" entend t-on tous les jours dans la bouche vertueuse de nos élites et de nos intellectuels relayés par les journalistes qui n'ont de cesse de tenter de nous culpabiliser. Les Français sont les agresseurs les autres sont les victimes, nous devons nous repentir.
Repentance et encore repentance, mais de quelles fautes suis-je coupable ? Mais tu es Français ! Donc coupable : je vais te flageller !

Malika Sorel nous dit que nos élites s'entêtent à traiter le problème sous l'angle économique alors qu'il s'agit d'un problème culturel. Autrement dit on ne trouvera pas la solution en injectant des fonds dans les banlieues et dans les mosquées. Mais cette facilité semble plaire à nos responsables.
Ils n'ont pas encore compris le fait que les populations qui ont immigré en nombre chez nous, au lieu de s'assimiler à notre culture, ont recréé leur communauté d'origine et vivent leur différence, même si elle est en totale opposition à celle de leur pays d'accueil.
Pour un Français, refuser les cultures en opposition à la nôtre, n'a rien à voir avec le racisme.

Caroline Castets dans Le Nouvel Economiste

[...] “La diversité, l’écologie,… dire qu’on est contre est inenvisageable. Tout autant qu’évoquer le racisme anti-blanc qui est pourtant une réalité. La bien-pensance le dit : tous les racismes existent, sauf celui-là !”, martèle Malika Sorel avant de souligner une tout autre réalité. “C’est pourtant un fait : 85 % des profanations de sépultures ont lieu dans des cimetières chrétiens mais, là encore, avancer ce chiffre est impossible. En revanche, que la moindre dégradation survienne dans un cimetière juif et l’affaire sera reprise dans tous les médias. Cela montre bien qu’il existe un filtre dans le choix de ce qui est habilité à choquer l’opinion et les consciences ; c’est la preuve qu’on est bien dans un phénomène d’indignations sélectives, lequel est le propre des dictatures morales.”
[...] Dernier exemple, l’accueil réservé au livre de Tarik Yildiz – Le racisme anti-blanc. Ne pas en parler : un déni de réalité. “Le racisme anti-blanc a beau être une réalité, celle-ci est totalement taboue, c’est indéniable, témoigne l’auteur, par ailleurs chercheur sur l’intégration sociale au CNRS. Pour s’en convaincre, il suffit de voir les réactions suscitées par la sortie de mon livre chez les associations anti-racisme qui ont toujours refusé d’aborder le sujet avec moi. Savoir qu’une réalité existe et imposer une omerta dessus, c’est le propre d’une dictature de la pensée.”







mercredi 10 avril 2013

L'arrogance sans scrupules.

Ces hautes écoles qui font les tricheurs.

Dans la formation de nos élites toute forme de responsabilité individuelle et morale a été totalement écartée. Cette caste aristocratique supérieure se veut détentrice des privilèges qui la distingue de la masse à laquelle nous appartenons.
C'est l'incompréhension totale entre ces deux mondes si différents.

Pour prétendre appartenir à l'élite il faut s'affranchir de la loi commune. Etre différent, c'est combattre la morale ordinaire, pour le maintien d'un droit supérieur, en occultant le simple devoir de servir.
Ils sont la noblesse arrogante, nous sommes le peuple servile.
Ils n'ont de cesse de vouloir prouver leur puissance par une supériorité méprisante.
La morgue dont ils font preuve nous les rend détestables.
Toutes les occasions leur sont bonnes pour détourner leur pouvoir à des fins personnelles.
Ces élites savent tout, rien ni personne ne peut leur montrer ou leur apprendre, ils sont aveugles et sourds. Ils ignorent tout de l'avis du citoyen, leur réflexion suffit à chaque décision.
Amnistiés, impunis, dissimulateurs et menteurs. Ces clones de la décision publique, tous issus des mêmes écoles, tous enclins à se reproduire dans les mêmes positions, pour ne pas laisser place à l'intrus susceptible de véhiculer une idéologie nouvelle.
On retrouve nos élites dans toutes les fonctions dépendantes de l'Etat.

Les mêmes baronnets à la cour.

Pendant que des gens dorment sur les trottoirs, pendant que les ouvriers travaillent pour un maigre salaire, nos courtisans se roulent dans la fange pour pouvoir saluer le roi. Décidément, rien n'a changé depuis la Cour de Versailles.

Je disais clones, je devrais dire consanguins, tant cette caste reste repliée sur sa satisfaction hégémonique. Cette oligarchie concentre tous les pouvoirs et toutes les décisions, pourvu qu'elles lui soient profitables.

Utopie des solutions.

Il serait impératif de revoir le système des Grandes Ecoles qui fabrique une élite qui ne sert qu'elle même. On pourrait imaginer un recrutement totalement différent et représentatif de la diversité.
Si une école doit former des élites, son premier devoir est d'apprendre le respect d'autrui et la responsabilité individuelle.
Qui dit responsabilité individuelle, entend sanction personnelle sans amnistie ni tolérance.

Mais ils ne sont pas fous, confortablement assis dans l'arbre, ils ne scieront pas la branche sur laquelle ils trônent.

Une pensée de dernière minute m'entraîne vers le triste roi Louis XVI, son tempérament mollasson, peu combatif  et soumis aux entourages de Marie Antoinette me rappelle une vague similitude contemporaine.
Mais, hélas Dieu merci, la guillotine est en panne.
Louis XVI, Marie Antoinette, leur progéniture et préceptrices

















samedi 6 avril 2013

Lettre à moi-même.

Puisqu'ils sont tous sourds et aveugles !


Serais-je vraiment le seul à être écoeuré par les politiques ?
Non, bien sûr ! Mais le haut-le-coeur m'amène au bord du vomissement.
Mon cerveau est en grève, il dicte à mon corps de tourner le dos au bureau de vote, de ne jamais plus cautionner cette mascarade de politique.
Les mots, pour qualifier ceux qui trompent la confiance de leurs semblables, existent et ils doivent être dits, écrits, répétés.
Tricheurs, voleurs, voyous, menteurs, salauds, dégueulasses, pourris, corrompus etc. etc. etc. peu importe l'ordre dans lequel je les range, ils sentent tous le même relent nauséabond.
Cette puanteur est accrochée à mon âme. Je sens ses effluves chaque fois que je vois un politicien arrogant ou souriant s'arranger avec sa noire conscience. J'imagine l'hilarité du quidam quand, de retour dans son cercle privé, il narre ses exploits de couillonneur professionnel à ses élèves soumis et appliqués.

On me signale que l'on a les politiciens qu'on mérite.
Pour ne plus les mériter : ne pas les élire, voilà bien une solution savoureuse.
Les jurés des assises sont tirés au sort, faisons de même avec les politiciens. Plus de professionnels de la politique...
On peut toujours rêver ! Et là, je suis en plein songe utopique.

Pauvre France !

La nécrose est irréversible, le sujet ne peut plus guérir.
La gangrène ne se développe jamais sur un sujet sain.
Le diagnostic de la gangrène est simple et rapide. N'importe quel contribuable peut facilement dresser un diagnostic pertinent. Il lui suffit de se comparer à ses semblables(tellement différents).

J'ai mal à mon porte-monnaie, le mien n'est pas en peau de Caïman, il laisse aisément échapper les menues piécettes. Servez-vous, je vous en prie, il me restera ma chemise et mon pantalon ne vous déplaise.

Nos dirigeants se disent "meurtris" par la corruption d'un des leurs.
Traduction : ce connard s'est fait piquer, c'est bien fait pour sa gueule mais il nous fout dans la merde.
Même si, en politique, on peut admettre l'arrangement avec la réalité, on ne peut accepter cette tromperie systématique qui caractérise nos édiles.

Pour couronner mon courroux, j'apprends que le port d'un sweat-shirt non conforme à la pensée consensuelle est dorénavant passible d'un nouvel impôt. Celui-ci sera utilisé, dit-on, pour compenser l'évasion fiscale et l'incompétence de nos "zélus et zélues" peu scrupuleux.
Je connaissais les radars collecteurs de super taxes, j'apprends qu'on peut maintenant sanctionner pour pensée non conforme à l'inquisition proclamée.
J'ai mal à ma liberté, elle rétrécit à la même vitesse que mon maigre porte-monnaie.

En lettres de sang :
L'hypocrisie politique m'a tuer !

Pensée : Les hommes politiques c'est comme le P.Q., ils arrivent tout roses et finissent pleins de merde.