vendredi 12 avril 2013

Comme une défaite.

Les idées de Malika Sorel, sans doute protégée par ses origines algériennes, développées par tout autre, ferait les choux gras de la pensée universelle en parlant de racisme, de xénophobie et de pensée judéo-chrétienne d'extrême droite.

Cette femme ose mettre le doigt sur les vrais problèmes causés par l'immigration. Bravo !
Membre du Haut conseil de l'immigration Malika Sorel n'a peur de rien ni de personne.

Le bilan qu'elle dresse sur l'intégration fait apparaître toutes les lacunes et les compromissions des politiques depuis plus de 30 ans. Echec total de l'intégration malgré quelques parcours individuels réussis. Pour certaines populations, même la naissance sur le sol français, n'implique pas de se sentir français. En refusant de reconnaître le problème de l'insertion de ces populations si différentes, en prétendant que le temps arrangerait les choses, nos politiques aveugles et sourds sont les principaux responsables de la situation actuelle.

Malika Sorel entend différencier insertion et intégration.

L'insertion c'est apprendre et assimiler les règles et les lois propres au pays pour permettre de s'accommoder de la communauté.
L'intégration, c'est l'adoption et la participation aux règles de la communauté. Elle devrait aboutir à l'assimilation de l'individu. Elle implique de supplanter sa communauté d'origine.

Dans l'état actuel, la sauce intégration ne peut pas prendre. Sous couvert de diversité religieuse ou culturelle on renvoie toujours les gens vers leur communauté d'origine. Impossible pour l'individu de s'émanciper de sa cellule familiale, communautaire ou religieuse.

L'identité nationale, (les mots tabous) pour pouvoir en parler, il faut se sentir français et être intégré à la communauté française.
Bafouer le drapeau d'un pays qui vous fait vivre, drôle d'intégration !
Pour les médias, seuls les étrangers ont le droit de revendiquer une identité. Les Français qui tentent d'évoquer la leur sont accusés de racisme et xénophobie.

Nos élites ont naturalisé sans discernement des populations qui n'ont jamais eu l'intention de s'intégrer à notre culture. On se retrouve aujourd'hui avec un pan de la société possédant des papiers français mais qui n'ont jamais adhéré à notre culture. Cet état de fait n'a pas été désiré par les Français, il leur a été imposé par des politiciens naïfs ou intéressés.

Encore un sujet tabou développé par Malika Sorel : le racisme anti-blancs.
Je dirais plutôt le racisme anti-Français.
Pour occulter le racisme des communautés issues de l'immigration, on parle volontiers du Français raciste. "Il ne faut pas stigmatiser l'islam et ces populations" entend t-on tous les jours dans la bouche vertueuse de nos élites et de nos intellectuels relayés par les journalistes qui n'ont de cesse de tenter de nous culpabiliser. Les Français sont les agresseurs les autres sont les victimes, nous devons nous repentir.
Repentance et encore repentance, mais de quelles fautes suis-je coupable ? Mais tu es Français ! Donc coupable : je vais te flageller !

Malika Sorel nous dit que nos élites s'entêtent à traiter le problème sous l'angle économique alors qu'il s'agit d'un problème culturel. Autrement dit on ne trouvera pas la solution en injectant des fonds dans les banlieues et dans les mosquées. Mais cette facilité semble plaire à nos responsables.
Ils n'ont pas encore compris le fait que les populations qui ont immigré en nombre chez nous, au lieu de s'assimiler à notre culture, ont recréé leur communauté d'origine et vivent leur différence, même si elle est en totale opposition à celle de leur pays d'accueil.
Pour un Français, refuser les cultures en opposition à la nôtre, n'a rien à voir avec le racisme.

Caroline Castets dans Le Nouvel Economiste

[...] “La diversité, l’écologie,… dire qu’on est contre est inenvisageable. Tout autant qu’évoquer le racisme anti-blanc qui est pourtant une réalité. La bien-pensance le dit : tous les racismes existent, sauf celui-là !”, martèle Malika Sorel avant de souligner une tout autre réalité. “C’est pourtant un fait : 85 % des profanations de sépultures ont lieu dans des cimetières chrétiens mais, là encore, avancer ce chiffre est impossible. En revanche, que la moindre dégradation survienne dans un cimetière juif et l’affaire sera reprise dans tous les médias. Cela montre bien qu’il existe un filtre dans le choix de ce qui est habilité à choquer l’opinion et les consciences ; c’est la preuve qu’on est bien dans un phénomène d’indignations sélectives, lequel est le propre des dictatures morales.”
[...] Dernier exemple, l’accueil réservé au livre de Tarik Yildiz – Le racisme anti-blanc. Ne pas en parler : un déni de réalité. “Le racisme anti-blanc a beau être une réalité, celle-ci est totalement taboue, c’est indéniable, témoigne l’auteur, par ailleurs chercheur sur l’intégration sociale au CNRS. Pour s’en convaincre, il suffit de voir les réactions suscitées par la sortie de mon livre chez les associations anti-racisme qui ont toujours refusé d’aborder le sujet avec moi. Savoir qu’une réalité existe et imposer une omerta dessus, c’est le propre d’une dictature de la pensée.”







1 commentaire:

  1. J'ai lu les esssais de Malika Sorel et je suis assez d'accord avec l'ensemble de ses idées. J'en profite pour saluer son courage.

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