dimanche 31 août 2014

Encore une crapule.

Je sais que vous connaissez tous Jérôme Lavrilleux, mais si je débarque avec un peu de retard, j'ai quand même envie de me le farcir celui-là.
photo Marianne
Ce charmant garçon, tout bien élevé, a déclaré "si on m’exclut de l’UMP, je parlerai".  Traduction, le petit toutou à Copé a dit : je sais faire du chantage et vous allez voir ce que vous allez voir.
Ce député européen a donc vu et entendu des choses pas convenables, des petites saloperies politiques, comme Duflot qui savait pour son copain Cahuzac mais qui ne devait pas révéler et qui bave aujourd'hui dans un bouquin sans intérêt, et que personne ne lira d'ailleurs.
Menaces, chantage, tel est le lot de ces apparatchiks. A ce petit jeu de dupes, Taubira doit tenir un sacré pavé pour que Valls lui caresse le poil.

Tout ceci est lamentable, heureusement que tous les français ne se comportent pas de la sorte, on vivrait dans un monde de merde. Remarque, on en est pas loin !

J'ajoute ici une petite phrase de cette idiote de Marine Le Pen " François Hollande a définitivement confirmé l’ancrage de sa politique dans l’ultralibéralisme le plus brutal, le plus stupide et le plus injuste". Si l'ultralibéralisme, c'est cette pléthore de lois contraignantes, pléthore de fonctionnaires et 57% du PIB dépensé par le seul état, alors je me demande ce que peut-être le socialisme et mieux encore, le communisme ? Un peu de sérieux Madame Marine !

Dd

mardi 26 août 2014

Arnaud et Benoit, elle est belle la France !


Monte et bourre, ancien ministre du Dressement Reproductif, aujourd'hui chômeur de luxe et son teckel, qui exerça le rôle de ministre de l'éducation nationale pendant toute la période des vacances scolaires : quelle belle équipe ! Pendant ce temps là, un nombre sans cesse croissant de français sont au chômage ou (et) dans la précarité. Et ces idiots, au lieu de s'atteler à leur tâche, se glissent des peaux de bananes sous les semelles et ceci sous le regard bienveillant de notre capitaine de pédalo.
On est pas dans la m..... avec tous ces guignols. Si on veut s'en sortir, il faudra peut-être éradiquer toute fonction politicienne et par la même notre gouvernement. Il est temps de trouver une autre voie !

Dd

vendredi 22 août 2014

Nadine Morano a tort

Preuve à l'appui : j'explique pourquoi !


Nadine Morano a tort ! Voilà tout ! Et pourquoi Nadine aurait dû la fermer ?
Lorsqu'on voit, et cela m'est déjà arrivé, une femme voilée sur la plage et son mari qui s'ébat copieusement dans l'eau, même s'il fait des petits signes amicaux à son épouse assise sur le sable, on ressent comme un malaise. C'est vrai ! (la femme est l'égale de l'homme n'est ce pas Najat Valaud Belkacem)

Mais maintenant imaginez-vous, sortant d'une longue brasse coulée et vous trouvant nez à nez, ou non, nez à burqa avec ce poisson préhistorique, sans visage, sans bras ni jambes et même sans nageoires. Si vous ne tombez pas raide mort, c'est que vous avez le coeur bien solide. Gardez- le le plus longtemps possible !

Madame Morano, vous avez peut-être, sans le savoir, échappé à une mort certaine sur la plage ce jour là. Cette femme ???, assise sur le sable dans son bel habit et faisant des signes amicaux à un éphèbe barbu, vous lui devez une fière chandelle. Merci de faire rapidement amende honorable !!!

Dd

mercredi 20 août 2014

Nîmes Métropole


 Mon petit coup de gueule vers des fonctionnaires irresponsables, comme si les camions de ramassage des déchets avaient tout à coup doublé de volume, alors que ce sont les mêmes gabarits depuis un demi siècle. Et la largeur de ma rue n'a pas diminué non plus du jour au lendemain.
J'ajoute que les sacs jaunes chargés de collecter les déchets "propres" et fournis par Nîmes Métropole sont tout à coup d'une telle mauvaise qualité qu'il en faut trois là ou un seul suffisait précédemment : à vouloir faire des profits, on perd de l'argent !(mais c'est pas grave, c'est le con-tribuable qui régale)

 Ci dessous, le courrier envoyé à la Direction de la Collecte et du Traitement des Déchets Ménagers de Nîmes Métropole, joli titre ronflant.

Lorsque j'étais enfant, nous achetions des boissons dans des bouteilles en verre. Ces bouteilles étaient dites « consignées », c'est à dire qu'elles avaient une valeur de retour. Le commerçant nous donnait donc le montant de la « consigne » quand nous lui rendions la bouteille vide.
Et puis on nous a convaincu de l'idiotie de la démarche. Le verre est devenu « verre perdu », joli progrès ! Pour faire bonne mesure on nous a incité, puis obligé à déposer nos bouteilles vides dans des containers prévus à cet effet. Si la fameuse « consigne » a disparu, le verre a toujours une valeur marchande et c'est bien sûr les municipalités qui l'encaissent.
Il en va de même pour les déchets collectés par Nîmes Métropole. Bien gérée, la récupération de nos déchets représente une manne non négligeable et leur collecte nous est imposée au prix fort avec bien sûr une augmentation de cet impôt de 25% entre 2004 et 2013. Augmentation inversement proportionnelle au service rendu : diminution des passages, obligation de tri sélectif, dépôt des végétaux et autres encombrants à la décharge municipale. (ce n'est pas une contestation mais une constatation de payeur)
Mais aujourd'hui, la participation des contribuables semble encore insuffisante ; c'est pourquoi on leur(nous) demande de véhiculer leurs déchets dans la rue principale pour éviter au camion ramasseur de faire quelques centaines de mètres de plus. Ceci bien évidemment imposé et non négociable !
Même mon voisin qui est seul, âgé et se déplace très difficilement devra se plier à votre décision.

Cette mesure unilatérale s'accompagnera, je l'espère, d'une diminution substantielle du montant de l'impôt de collecte des ordures ménagères.

Recevez, Mesdames, Messieurs, mes meilleures salutations.

 Dd

lundi 18 août 2014

Les irresponsables.

 

Un équipage apocalyptique.
photo Paris Match
  

Nous voilà dans le 28 éme mois du président normal. Souvenez-vous, Mai 2012 : le changement c'est maintenant. Voyons donc de quel changement parlait notre président. La valse des maîtresses semble le changement le plus remarqué. Puis les hauts fonctionnaires indésirables, suivis de quelques ministres contestataires et (ou) incompétents. Ah j'allais oublier le fameux changement de lunettes, ajouté à l'augmentation des impôts, à l'aggravation du chômage, voilà quelque chose qui défrise. Malheureusement le Pédalo et son capitaine ont oublié de passer à l'arsenal pour une révision.
27 mois de tripotements pour en arriver à refuser tout changement de politique, alors que la France plonge, plonge...
Valls a dit « La politique que le président de la République a décidé de mettre en œuvre nécessite du temps pour produire des résultats. Mais il est hors de question d’en changer », l'équipage ne doit pas voyager avec les passagers pour laisser le vaisseau couler de la sorte. Plus de croissance, plus d'emplois, mais il faut continuer dans la même direction. Tous les clignotants sont au rouge, les sirènes hurlent de tous côtés, on commence à entendre des bruits de tôles froissées, ça sent la fumée. Bientôt le sang et les larmes !
Les salauds de pilote et de copilote ferment les yeux et se bouchent les oreilles et les narines prêts à sauter dans le premier canot de sauvetage qui pourrait se présenter.
Messieurs Hollande et Valls faites donc comme Ribery et Nasri, les français vous diront merci.

Dd

dimanche 17 août 2014

Le vieux reposoir


Si j'avais le don de parole, je pourrais vous en conter des histoires.


Je suis le vieux banc de bois, je ne sais plus qui m'a installé là, vers le milieu du siècle passé.
Je crois que c'était le vieux Fernand le garde-chasse, avec Isidore le cantonnier. A l'intérieur du deuxième virage en épingle du chemin qui monte vers le lac, ils m'avaient adossé au bloc de granit qui me protégeait des vents mauvais.
Offert aux promeneurs, j'ai soupesé plus d'un séant, du plus fin au plus volumineux.
Si j'ai souffert quelques fois, c'est moins des masses me chevauchant que des fortes effluves que dégageaient certains corps odorants. Ceux-ci en rajoutaient très souvent de quelques gaz tonitruants dont l'écho se propageait à travers la forêt et dont je gardais l'entêtant souvenir jusqu'à la prochaine pluie.
J'ai chassé de ma mémoire les vilains qui m'ont torturé et défiguré pour y laisser une marque ou une empreinte. Heureusement, le temps a creusé des rides dans ma chair, qui se sont mêlées aux estafilades des silex et autres tranchants.
Une fois, on a même déversé un liquide fort odorant et on a tenté de me brûler vif en dansant et en beuglant autour de mon tombeau. Mais, si j'ai changé de couleur, je suis toujours là pour recevoir quelque rare sportif fatigué ou quelque poète contemplatif.
Mes meilleurs souvenirs vont vers les enfants lorsqu'il grimpaient sur mon dos ou sautaient sur mon ventre solide en riant. J'ai pleuré une fois avec un petit Emilien qui a glissé sur mon écorce et s'est fracturé l'avant-bras.
Il est des histoires que je ne pourrais pas raconter et d'autres qui m'ont fait tordre de rire. Des monologues incompréhensibles pour un fayard gisant et peu cultivé. Des confidences susurrées sur mon tronc qui m'ont vu rougir. J'ai même dû quelques fois servir de paravent à des effeuillages spontanés et de soutien sans confort a des plaisirs bruyants et non dissimulés.
Combien de couples se sont reposés sur ma carcasse, des centaines, des milliers peut-être ? Combien de promesses échangées, tenues ou non tenues ? Combien de petits et gros mensonges ? Combien de "Tu te souviens du banc, si on refaisait la même chose..." ?
Il me reste en mémoire la visite de cet adolescent boutonneux ; il tenait dans ses bras un petit faon né sans doute de la journée. Il avait posé le petit animal craintif sur mon dos et s'était assis à son côté. En lui parlant doucement, il tentait de le nourrir d'un peu de son goûter, ce que le faon refusait bien sûr. Visiblement, ces deux là ne se comprenaient pas !
Quand on entendit un cri rauque, plaintif et puissant, auquel répondit un faible piaulement, l'enfant apeuré prit ses jambes à son cou et détala le long du chemin. La mère du petit, l'oeil inquiet, les naseaux en avant, les oreilles pointées vers le haut, arriva ainsi au chevet de son rejeton.
Sans ménagement, elle le poussa avec son museau pour le faire chuter du confort de mon dos. Lorsqu'il fût étalé au sol, elle l'invita à boire, ce qu'il fit goulûment. Couchés contre l'abri de mon corps, la mère léchant son petit, ils s'endormirent paisiblement. Plus tard je les vis s'éloigner dans les derniers rayons du soleil, le petit faon titubant et chutant, puis se relevant entre les jambes de sa mère.
J'ignore pourquoi, mais la nuit qui suivit cet événement, j'ai eu peur du noir. Etonnant, n'est-ce pas pour un meuble né en forêt et ayant toujours vécu dans cet environnement !
Chaque fois que me revient cette anecdote, je ne puis retenir les quelques larmes de sève qui me nourrit encore.
Aujourd'hui, je suis vieux, fatigué et vermoulu, personne ne s'arrête plus pour me faire un brin de causette.
Le rocher de granit a été extirpé de son emplacement par de gros engins et je reste seul, exposé à tous les vents.
Le chemin qui mène au lac a été goudronné voilà déjà une dizaine d'années. Lorsque les voitures, à la sortie du virage accélèrent brutalement, je reçois leurs émanations nauséabondes, je pue, je dépéris.

Si seulement Fernand et Isidore pouvaient revenir pour finir le travail proprement !

Dd

samedi 16 août 2014

La future coûteuse réforme territoriale.


La réforme territoriale, tout le monde en a entendu parler. Mais si la majorité des français s'en moquent royalement, la même majorité sait qu'en fait de simplification, c'est une complication sans précédent qui les attend.
Lorsque nos politiciens prennent une décision, on sait qu'elle est rarement à l'avantage du citoyen lambda. Alors pourquoi cette réforme ridicule, inutile et coûteuse ? De l'avis de nos têtes pensantes, nos régions sont trop petites ; elles ne peuvent pas concurrencer les régions des autres pays européens.
On pense bien sûr aux Landers allemands qui complexent notre premier ministre au point que celui-ci me rappelle la fable de La Fontaine "La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf" Et devinez ce qu'il advint de la pauvre grenouille ? Bien sûr vous le savez aussi bien que moi ! Si le sort de cette grenouille  pouvait faire réfléchir Manuel Valls, on en serait ravi.
Personne n'a envie de finir de cette manière.

Dd

vendredi 15 août 2014

Aurélie fait les gros yeux

Amazon a eu presque peur !


Au gouvernement, on préfère déclarer la guerre à Amazon plutôt que s'attaquer au chômage et à la pauvreté.
Sacrée Aurélie Filippetti, qui vend ses bouquins par l'intermédiaire d'Amazon, (si, si) mais qui voudrait sans doute, en tant q'auteur, voir son pécule augmenter. Tant pis si le consommateur paye le produit plus cher, elle n'en a cure.
  « Cet épisode est une nouvelle révélation des pratiques inqualifiables et anticoncurrentielles d’Amazon. C’est un abus de position dominante et une atteinte inacceptable contre l’accès aux livres. Amazon porte atteinte à la diversité littéraire et éditoriale. » 
Alors qu'il s'agit d'un différend concurrentiel entre Hachette et Amazon, deux sociétés privées, la ministre vient fourrer son nez dans une affaire qui ne la concerne pas. Sans doute n'a t-elle rien d'autre à foutre pour justifier sa position de ministre de la culture. Si elle veut à tout prix prendre parti, eh bien qu'elle se marie, merde ! Ah oui, j'ai en peu dévié ; ça n'a rien à voir ! Mais ça ne fait rien.
Un conseil amical : Aurélie marie toi et fous la paix aux gens qui veulent nous vendre les livres moins chers.

Dd

 A partir d'aujourd'hui...
Je vais tenter une courte chronique quotidienne ( la plus quotidienne possible) ou un petit coup de gueule sur un sujet d'actualité ou sur un événement complètement inconnu du public.

Dd