vendredi 7 février 2014

L'idéologue enragé


Si on parlait un peu du ministre anticlérical par excellence, j'ai nommé Vincent Peillon ministre de l'éducation nationale.
A la suite d'un précédent billet critique à l'endroit de Najat Valaud Belcacem, certains(es) m'ont vertement accusé de misogynie, aujourd'hui je vais critiquer un ministre du genre masculin, va t-on m'accuser d'être misandre ?
Contrairement à la ravissante ministre, celui-là est naturellement antipathique malgré son faux air d'intellectuel charmeur. Il est de ceux qui, pour avoir échoué leur vie familiale, se croient obligés de tenter de mettre en échec toute la jeunesse de notre pays. Plus occupé à parfaire ses combines par un sens de la famille qui ne vaut que pour un esprit tortueux.
Un petit coup de pouce à l'une de ses ex-femme Brigitte Sitbon-Peillon en la bombardant inspectrice générale de philosophie.
Un gros coup de pouce à sa fille Salomé Peillon nommée à un prestigieux poste d'attachée culturelle à l'ambassade de France en Israël.

On appelle çà du népotisme, mais c'est une tendance quasi générale chez nos oligarques toujours pressés de caser leurs bons à pas grand chose avant qu'ils ne dérivent vers des activités moins reluisantes. Mesdames Touraine et Taubira devront se rattraper pour tenter de caser leurs rejetons délinquants. Monsieur Fabius devra un jour user de toute son autorité pour sortir son fils des magouilles comme il s'est sorti lui-même du piège du sang contaminé - responsable mais pas coupable -

A Priori, le ministre de l'éducation nationale a omis la politesse et la mesure à l'endroit de son idiot de rejeton Elie Peillon, coupable de menaces de mort dans un français aussi approximatif que la politique de son père. Je n'ai pas pu résister à l'envie de leur associer Pascal Terrasse, député socialiste proche de Vincent Peillon et aussi performant en français que le rejeton du ministre.

Aujourd'hui en France on arrête des gens pour des banderoles, de simples inscriptions "Hollande démission"




Comme Julie Gayet, Maya Peillon appartient au bataillon des intermittents du spectacle largement subventionnés par les cotisations chômage des travailleurs.

Monsieur Peillon, appelé Le Serpent par Fançois Hollande, veut changer l'homme en formatant les enfants à son idéologie. Cet homme ambigu, qui a déclaré la guerre à l'église catholique, veut faire de l'école sa nouvelle religion dont il serait le gourou ou le grand rabbin. Il fait partie de cet élite qui veut s'emparer de notre vie privée pour la modeler à sa convenance.

Je veux une république exemplaire, claironnait le fougueux pilote de scooter, je vous laisse juges du résultat.
L'environnement Hollande s'apparente à une patinoire, le pilote a dérapé et la valse des courtisans et courtisanes patine dangereusement dans l'entourage du monarque.

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